Kit DIY Kalimba 10 notes à fabriquer
Nombre de touches : 17 touches
Matériau de la caisse : Bois de pin
Matériau du Clavier : Acier inoxydable
Type de bois : Bois massif
Personnes concernées : Débutant / professionnel
Type : Piano à pouce
Nombre de sonorités : 17
Caractéristiques du kit DIY :
– Fabriquée en bois de pin de haute qualité.
– Le son est clair et plein.
– Les touches sont fabriquées en métal, ce qui renforce leur résistance et permet d’obtenir un son clair et éthéré.
– Notes gravées sur les touches, facile à apprendre.
Jouez-en pour développer votre talent musical !
Poids du produit : 301 G
Dimensions du produit (L*l*h) : 180*130*30 MM / 7.09*5.12*1.18 Inches
Poids de l’emballage du kit DIY : 383.0 G
Dimensions de l’emballage (L*l*h) : 210*150*60 MM / 8.27*5.91*2.36 Inches
L’emballage du kit DIY comprend :
1 Kalimba à 17 touches
1 Marteau d’accordage
1 Sac en velours
1 Chiffon de nettoyage
1 Autocollants rouge et vert
Fabriquez votre Kalimba chez vous pour étudier, créer votre musique et développer votre créativité avec ce kit DIY
Dans votre quotidien vous devez surement essayer d’intégrer des activités amusantes. Si vous ne savez pas quoi faire de vos journées, vous pouvez dès à présent décider de fabriquer un kalimba vous-même grâce à ce kit DIY.
Grâce à ce kit DIY, vous aurez tous les éléments nécessaires pour confectionner votre propre kalimba à 10 notes. Vous allez vivre une expérience amusante qui vous permettra à vous, votre famille ou vos enfants d’apprendre à connaître cet instrument africain unique.
Vous allez adorer jouer avec vos propres kalimbas fabriqués par vos soins avec ce Kit DIY.
Nous recommandons très vivement ce kit DIY car il vous offre la possibilité de faire une activité originale tout en apprenant et en s’amusant. Il s’agit également d’une activité amusante que les parents peuvent faire avec leurs enfants. Nous espérons que vous pourrez faire de superbes kalimbas à l’aide de ce kit DIY !
Le manuel original du Kalimba Hugh Tracey 1968
Lorsque Hugh Tracey a fabriqué ses nouveaux kalimbas en 1954, il n’y avait que quelques personnes dans le monde qui pouvaient jouer de cet instrument africain non traditionnel.
Mais qu’en est-il des gens en Afrique ? Ne jouaient-ils pas eux aussi du kalimba ? Si, mais ils jouaient des instruments avec d’autres conceptions, d’autres réglages et d’autres accords. Le Kalimba Hugh Tracey était un nouvel instrument de la famille des kalimbas, idéalement adapté à la musique occidentale.
Le fils aîné de Hugh, Andrew Tracey, est allé étudier la musique à Oxford afin de pouvoir rédiger un manuel pour les kalimbas Hugh Tracey.
Hugh Tracey, la personne qui a commencé à fabriquer des kalimbas commerciaux en Afrique du Sud dans les années 1950, avait l’habitude de jouer “Jesu, Joy of Man’s Desiring” de J.S. Bach sur le Treble Kalimba pour promouvoir ce nouvel instrument.
Mais il y avait un énorme fossé entre ce que les Tracey (Hugh et ses fils Andrew et Paul) pouvaient faire sur cet instrument et ce que le reste du monde pouvait faire. La solution à ce problème a été pour Hugh et Andrew d’écrire le manuel d’instruction du kalimba de 1968.
A l’époque, ce manuel était fourni gratuitement avec chaque Kalimba Hugh Tracey.
Histoire du kalimba
Au fur et à mesure que la mbira se répandait en Afrique, des clans ou des tribus distincts créaient chacun leur propre version. Au fil du temps, chaque groupe a apporté des modifications à la conception de l’instrument, comme le nombre de dents de l’instrument ou le type de planche ou de calebasse utilisé pour monter la mbira.
Les mbiras ont également reçu des accords spéciaux par chaque groupe pour soutenir leur musique unique. La kalimba/mbira est un instrument véritablement flexible.
L’une des principales voies de prolifération de ces instruments s’est développée lorsque des Congolais réduits en esclavage ont été déplacés en Afrique et utilisés comme porteurs (en fait, des bêtes de somme humaines) par leurs geôliers belges à la fin des années 1800 et au début des années 1900.
Ces personnes portaient leurs propres kalimbas et les ont fait découvrir à de nombreux groupes d’Africains qui n’en avaient jamais vu. Les Bushmen du désert du Kalahari, isolés et nomades, n’ont été exposés au kalimba que dans les années 1950.
En plus de la grande variation dans la conception et le son de l’instrument, chaque groupe de personnes utilisait la mbira différemment dans leur vie sociale. Dans certaines cultures africaines, la mbira (et son descendant moderne, le kalimba) est un instrument personnel de choix, à emporter avec soi pour passer le temps.
Dans certains endroits, c’est un instrument de célébration pour les mariages, ou un instrument à jouer pour les rois. Il est largement utilisé comme instrument d’accompagnement de la voix.
Un dicton dit : “Le kalimba sans le chant, c’est comme le riz sans les haricots”. Et dans certaines sociétés, c’est un outil permettant d’attirer les esprits des ancêtres, de les faire revenir pour un temps afin que leurs conseils soient entendus.
L’histoire et la préhistoire de la kalimba/mbira sont diverses et riches. Au XXIe siècle, nous pouvons choisir de nous tourner vers le passé et d’apprendre les chants traditionnels, ou nous pouvons choisir de regarder vers l’avenir et d’inventer quelque chose de nouveau, comme les Africains l’ont toujours fait.
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